Comme nous n’avons rien de spécial à acheter nous vivons Jatujak plutôt sereinement.
Il nous faut juste trouver de quoi manger, ce que nous finirons enfin par faire, juché sur des tabouret, mangeant à pleins doigts du poulet frit (tout est frit ici !), un sac de Kao Niao (le très parfumé riz gluant) et un excellent som tam (l’inégalée salade de papaye verte aux crevettes séchées et aux crabes verts crus).
Le tonnerre gronde à l’horizon, le ciel s’assombrit et la pluie ne devrait plus tarder.
Un petit arrêt dans un charmant café suffit à déclencher le déluge. Des gouttes grosses comme des pamplemousse inondent les allées.
Quelques trous dans la toiture font jaillir des cataractes dignes des chutes Victoria.
Les allées de cet immense marché recèlent des merveilles dont il faudrait garnir un conteneur, mais le temps nous manque…
Nous patientons un peu en attendant une accalmie, la saison n’est pas propice aux longues pluies, et en 20 minutes tout se termine par un éclat de soleil.
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ça fait du bien de voyager, on s'y croirait presque.MERCI!!!!vivement la suite...
RépondreSupprimergros bisous
flo ( et mika qui est en mer...depuis 10 jours...)
Ca fait du bien de voyager avec vous: MERCI!!!on s'y croirait..vivement la suite!
RépondreSupprimerbises basquaises
flo et Mika ( qui est toujours en mer depuis 10 jours...)
ah bah tiens je me serais cru lors de mes vacances en nouvelle calédonie... "climatellement" parlant !
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