Avec le recul je me dis que nous avons vécus cette première journée comme s’il n’en restait qu’une…
Nous quittons l’hôtel pour rejoindre la station de métro Lumphini à 5 minutes de marche, transférons dans le BTS (le train aérien) et embarquons dans le bateau qui remonte le Chao Praya en direction de Khao San.
Pourquoi donc allons nous nous perdre à l’autre bout de la ville, dans le repaire des backpackers aux cheveux sales et guenilles ?
Un guide de voyage ? Serions nous partis sans guide voyage ?
Mais oui ! Enfin non pas tout à fait, j’avais religieusement conservé mon guide 2001 avant d’acheter le dernier-né via la FNAC en France.
La nouvelle mouture n’étant disponible qu’au mois de février au Québec, je me suis dit que j’aurais largement le temps de le commander et de le recevoir avant notre départ.
Mais mis à part une version 2004 ou des éditions en anglais, je n’ai rien vu de bien intéressant.
Peu me chaut me disais-je puisque nous n’avons pas spécialement besoin d’un guide. Nous ne parcourons pas le royaume au complet en autobus, et les quelques informations dont j’aurais éventuellement besoin se trouvent facilement aux bureaux de la TAT, l’office de tourisme thaïlandais.
Ensuite le billet d’avion pour Bali est plus cher que sur internet et pour finir le café du Starbuck est aussi cher qu’à Montréal, mais c’est vrai que la bâtisse est sublime.
Fin de Khao San road, laissons les hippies entre eux et allons baguenauder sur les trottoirs défoncés à la recherche du massage idéal.
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